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Neurodiversité Suisse
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Genèse de Neurodiversité Suisse 

Créé sous l’impulsion de personnalités atypiques, neurodiversité suisse milite en faveur de la neurodiversité et travaille en réseau avec Neurodiversisté France crée en 2019 en partenrariat avec le mouvement Neurodiversité.com instigué par Mélanie Ouimet au Québec.

 

 

 

 

 

 

Nous visons à développer des actions destinées à faire connaître et développer la Neurodiversité.

Neurodiversité Suisse adhère à la position officielle du salon neurodiversité (communiqué officiel ) sur le paradigme que représente ce terme que nous devons comprendre et respecter afin d’éviter de véhiculer de fausses informations et de générer de fausses croyances.

Ses membres mènent différentes actions dans le but de faire connaitre et défendre l’idée de Neurodiversité et notamment :

  • Interventions visant à faire connaitre la neurodiversité et à développer sa prise en compte au niveau institutionnel, éducatif et professionnel

  • Organisation de conférences et sensibilisations, évènements dédiés à la neurodiversité

  • Communication et diffusion d’informations sur la neurodiversité : mise en avant d’initiatives innovantes sur le sujet

  • Mise en avant d’expériences de vie et parcours positifs d’atypiques inspirants "role models".

  • Ateliers et formations de sensibilisation à la neurodiversité afin de rendre accessibles les connaissances et capitaliser sur les expériences exemplaires

  • Soutien et orientation auprès des individus concernés

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Il y est question de Biodiversité humaine, biodiversité des cerveaux humain :

"La neurodiversité est une forme naturelle et précieuse de la diversité humaine.

 

Il n’existe pas de cerveau « sain » ou « normal », ni un mode adéquat de fonctionnement cognitif.

C’est une réalité biologique. Son existence n’est pas une perspective discutable. Il ne s’agit pas d’une croyance, d’un mouvement, d’un paradigme, ou d’un nouveau terme à la mode »

 

Ainsi nous pouvons faire un parallèle avec la biodiversité. Cette infinie diversité provient de combinaison de facteurs, innés et acquis qui interagissent ensemble pour former l’individualité de chaque être humain.

 

Ce modèle représente la diversité plutôt que l’incapacité et la déficience. Il ne nie pas les embuches et multiples défis auxquelles une personne neurodivergente peut être confrontée. Cependant plutôt que de vouloir corriger, guérir ou normaliser la personne, ce mouvement désir apporter soutien à la personne dans le respect de son mode de fonctionnement."

Extrait de la position officielle commune du salon de la neurodiversité.

Pédagogie

« C’est la diversité des cerveaux et des esprits humains.

C’est la variation infinie du fonctionnement neurocognitif au sein de notre espèce »

La Neurodiversité regroupe quoi ? 

La neurodiversité est donc un terme générique regroupant notamment l’autisme, le TDAH, la douance...mais également la neurotypicalité (autrement dit, les individus n’ayant pas de condition neurologique les distinguant de la norme).

 

C’est l’idée que, comme dans tout autre environnement stable, les êtres humains sont différents et complémentaires, en l’occurrence par le biais de leurs cerveaux. Par conséquent, afin de préserver l’équilibre, la seule présence de la norme n’est pas souhaitable, ce qui signifie qu’il est préférable de créer un environnement où chacun peut vivre sa différence et en faire bénéficier autrui.

La neurodiversité inclut : 

  • l'autisme 

  • le TDAH 

  • la douance

  • les dys :  dyslexie, dyscalculie, dyspraxie, dyshortographie...

  • le syndrome de Gilles de la Tourette

  • l’hypersensibilité

  • la neurotypicalité (aucune de ces conditions)

 

Il est fréquent d’en collectionner plusieurs comme par exemple : tdah et haut potentiel et dyspraxie ou haut potentiel et autisme etc... de nombreuses combinaisons sont possibles et fréquentes et bien plus complexes que de simples catégorisations hermétiques.

Les personnes présentant une particularité cognitive ou un fonctionnement cognitif dit atypique par rapport à la norme représentent entre 10 et 30 pour cent de la population mondiale suivant les particularités prises en compte, d’où l’enjeu de société qu’elle représente.

Crée dans les années 90 par la sociologue australienne et autiste Judith Singer, ce concept médiatisé pour la première fois en 1998, s’impose progressivement comme une nouvelle anthropologie. Elle désigne la variabilité neurologique humaine et son aspect positif. Les différences ne sont plus perçues comme des handicaps en soi mais comme les composantes de notre espèce, égales et complémentaires
 

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Elle part du principe que les différences neurologiques mises en évidence ne sont ni une maladie, ni la conséquence de la toxicité du monde moderne, mais la simple expression de variations naturelles de l’espèce humaine, "au même titre que la diversité, ethnique, sexuelle, culturelle …ce qui implique de réfuter un modèle unique de vie dit « normal » ou « sain » en fonction d’une majorité de la population". Comme le stipule la position officielle du salon de la neurodiversité. 

Ces variations  ont toujours existé et sont autant de richesse pour le genre humain.

 

Plus qu’une question médicale, il s’agit d’une question de biologie, d’anthropologie donc de société, dépathologiser signifie désormais qu’il est important de donner plus de place aux questions éducatives, sociales, philosophiques et économiques.

Et si ces différences étaient désormais considérées comme de variations cognitives naturelles, dont les atouts ont contribué à l’évolution de la technologie et de la culture ?

Les défis se posant alors à ceux qui se trouvent dans ce spectre sont surtout environnementaux, contextuels : ceux de l’adaptation et de la survie dans un environnement très normé, standardisé conçus pour la masse, pour la moyenne à laquelle ils ne correspondent pas.

« La neurodiversité est une cause majeure, parce qu’elle réhabilite l’humanité » Juliette speranza 

Enseignante et auteur « l’échec scolaire n’existe pas »

Nos valeurs

Notre team

Le respect de l’altérité et de la différence

Par la compréhension réciproque de nos fonctionnements respectifs, le non jugement et la tolérance.

 

Le lien

La neurodiversité a pour but de réunir neuroatypiques, comme neurotypiques, tous sont concernés ; De créer des ponts et sortir des silots. Elle regroupe un ensemble de singularités : autistiques, hp, tdah, dys... C’est un lieu unique qui fait les liens entre tous ces fonctionnements atypiques. En effet, beaucoup d’entre nous sont concernés souvent par plusieurs de ces particularités tant les frontières sont poreuses. Ensemble nous représentons jusqu’à 30 % de la population, en suivant ce principe : « tout seul on va plus vite, ensemble on va plus loin ».

 

L’équilibre 

Rétablir un juste équilibre.

 

Peu d’études et rapports focalisent sur les ressources des personnes concernées. Or en focalisant sur leurs troubles et pas leurs ressources nous les privons également de visibilité sur ces dernières. Il est important désormais de rééquilibrer cela... de contrebalancer les discours dominants axés sur les manques et les défaillances, dévastateurs pour l’estime de soi.

 

L’espoir

Donner espoir et montrer des parcours inspirants.

- Un lab qui met les personnes concernées au centre : c’est elles que l’on met en valeur, leurs réussites, les ressources développées, sont à l’honneur

- Mettre en valeur les « hors-normes » et leurs petits pas et réussites

- Inciter au développement de la pair-aidance

« Nous ne pouvons juste viser l'inclusion nous devons viser la complémentarité, la création, la complexité, car tout est différent dans la nature ! Ne devenons pas produits de nous-mêmes comme ces voitures en série. Il est temps de changer de paradigme sur ce qu'est l'intelligence humaine. »

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Technologie

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Et si on sortait des logiques d’hyper médicalisation de la différence, des peurs, des logiques de compétition cognitives pour rechercher l’intelligence collective ? 

 

Et si on apprenait à mettre de la valeur sur les singularités, les dons et talents des neuroatypiques, à chercher et créer les environnements qui leur permettent de les exprimer, afin qu’ils trouvent leur place au monde et puissent y contribuer à hauteur de leurs talents et ambition ?

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